Plantation
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Choisir un emplacement ensoleillé à très ensoleillé.
La plantation d’un rosier en pot s’effectue au printemps et à l’automne. Pour de la culture en pot, privilégiez des pots de grandes tailles.
Dans un trou de 40 cm de diamètre et de profondeur, mettre une grosse pelle de compost ou de fumier composté (2 ans), puis 5 cm de terre ; grattez la motte, posez le rosier ; comblez le trou ; tassez,  en s’assurant que le point de greffe ne soit pas enterré ; formez une cuvette et remplissez-la (5 à 10 L).
 

Entretien
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L’arrosage s’effectue en deux fois, le premier arrosage permet d’hydrater la terre et le deuxième d’hydrater la plante.  Arrosez 1 fois par semaine pour les rosiers en pleine terre, au printemps et en été, en tenant compte de l’arrosage naturel.
Pour la culture en pot, 2 à 3 arrosages par semaine, au printemps, en été, et à l’automne.
La rose est une fleur très gourmande donc pour obtenir des belles floraisons, nourrissez vos rosiers 3 fois par an. Vous pouvez utiliser du compost, du fumier en granulés, des purins et d’autres engrais organiques.
Taillez les rosiers au mois de Mars, lorsque la végétation redémarre. Les variétés buissonnantes seront taillées en éliminant environ les deux tiers des branches. Coupez au dessus d’un bourgeon orienté vers l’extérieur, afin d’ouvrir le rosier,  supprimez les branches du centre afin de former un gobelet. Sur les variétés grimpantes, gardez les branches principales fortes et saines  et taillez les ramifications, en laissant 3 à 5 bourgeons.
Afin de favoriser une nouvelle floraison, les fleurs fanées seront supprimées au fur et à mesure,  avec les deux tiers de leurs tiges.
Attention les rosiers non remontants ont une seule floraison par an. Ils seront taillés après leur floraison, entre la mi juin et la mi juillet.
 

Maladies et ravageurs
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L’oïdium (la tache blanche), le mildiou (la tache d’huile), et le marsonia (la tache noire) sont des maladies cryptogamiques (champignons).Elles se développent au contact de l’humidité et de la chaleur. Afin de diminuer l’impact des ces maladies, ne mouillez pas le feuillage.
Privilégiez des produits de traitements d’agriculture biologique, moins nocifs pour l’environnement et la santé de l’homme.
Le puceron est l’insecte ravageur le plus courant. Pour lutter naturellement, vous pouvez utilisez du pyrèthre, que l’on trouve dans le commerce, le savon noir, la macération d’ail, la décoction de consoude, l’infusion de menthe poivrée… Vous pouvez également trouvez dans les commerces et jardineries, des insectes auxiliaires tels que les coccinelles, les syrphes, les chrysopes, et beaucoup de petites guêpes parasites.
Attention, les fourmis élèvent les pucerons pour le miellat, les déjections des pucerons. Pour lutter plus efficacement contre les pucerons, il faut faire fuir les fourmis.
 
Afin de profitez pleinement des vos rosiers, n’oubliez pas de les entretenir régulièrement. Nourrissez les lors d’un binage, nettoyez les en coupant les fleurs fanées,  en enlevant les feuilles malades, en éliminant les pucerons, traitez si nécessaire, arrosez en période de végétation…
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